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THE BLOB

 

GENRE : Gloumoute gélatineuse

REALISATEUR : Irvin S. Yeaworth Jr.

ANNEE : 1958

PAYS : USA

BUDGET :  240 000 $

ACTEURS PRINCIPAUX : Steve McQueen, Aneta Corsaut, Earl Rowe...

 

RESUME : Steve et Anne, un couple d'adolescents, sont témoins de la chute d'une météorite. La chose informe venue de l'espace s'accroche au bras d'un vieil homme et n'aura, dès lors, de cesse de se transmuer en masse visqueuse qui dévore tout sur son passage. Steve et ses amis vont tout faire pour avertir la ville que la vie de ses habitants est en danger.

 

MON HUMBLE AVIS :

Retrouver Steve McQueen, dans un de ses premiers rôles, à l’affiche de ce petit film de SF (il aurait touché 3 000 $ pour sa prestation) peut sembler assez surprenant au regard de la filmographie du héros de Bullit, Papillon ou les Sept mercenaires. D’autant plus que le long-métrage n’est pas d’une qualité exceptionnelle.

Il faut dire que le budget ne permet pas le déploiement de vastes décors ou d’effets visuels de haut niveau. Après l’arrivée du blob et son emprise sur le bras d’un pauvre fermier tel un vieux chewing-gum oublié sous un banc, le scénario a du mal a se développer et multiplie les dialogues et les scènes explicatives pour combler le manque de moyens.

Ainsi, Steve McQueen et ses amis teenagers se débattent comme de beaux diables pour tenter de faire croire l’impensable aux autorités assez dubitatives, tandis que le Blob se développe et commence à gloumoutiser la population. Au passage, une petite amourette est esquissée au milieu d’une ambiance un peu désuète de fin des années 50.

Le climax permet enfin la vision d’une créature transformée en gros pudding et envahissant la ville et surtout le bâtiment où sont retranchés les protagonistes. Aidés par la population, la chose sera statufiée grâce à l’utilisation de nombreux instincteurs ! La dernière image du film est très drôle puisque le Blob, sans vie, est hélitreuillé et déposé en Antarctique, avec un gros point d’interrogation qui indique une suite possible...

 

A noter : Je vous conseille plutôt le remake de Chuck Russell datant de 1988, beaucoup plus généreux en effets visuels et gores.

 

NOTE : 3 / 6 

 

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